Aujourd’hui des voix s’élèvent pour montrer que la crise écologique et l’oppression patriarcale ont leurs racines dans les mêmes mécanismes d’appropriation et de domination. Cette thématique est pourtant un point aveugle de l’encyclique Laudato si’. Mais elle n’est pas absente de la pensée chrétienne : des théologiennes d’horizons divers mettent en lumière comment féminisme et engagement écologiques se renforcent mutuellement. En témoigne le récent ouvrage « Gaïa et Dieu.e » de Charlotte Luyckx et Michel Maxime Egger. L’écoféminisme est-il définitivement étranger à la foi chrétienne ou au contraire, peut-il y trouver de précieuses ressources ?
Avec
- Charlotte Luyckx, philosophe de l’écologie (UCLouvain).
- Michel Maxime Egger, sociologue et écothéologien.
- François Euvé sj, théologie (Facultés Loyola Paris) et rédacteur en chef de la revue Etudes.
- Pauline Bourguignon, artiste, praticienne de la matière.
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