Faire chacun.e sa part et ne pas se laisser arrêter par l’insignifiance des actions individuelles : nous connaissons la « leçon du colibri ». Elle est essentielle, mais est-elle suffisante ? Dans Laudato si’, le pape François invitait à l’action collective : « Si les citoyens ne contrôlent pas le pouvoir politique – national, régional et municipal – un contrôle des dommages sur l’environnement n’est pas possible non plus » (179). Mais à l’heure où l’individualisme prime et où domine la perte de confiance dans le politique, quelles sont les lieux et les manières de faire qui sont capables de renouveler le désir de s’engager avec d’autres ? Les communs représentent-ils une voie pour retrouver le sens du collectif ?
Avec
- Axelle Fischer, secrétaire générale d’Entraide et Fraternité et d’Action Vivre Ensemble.
- Jonathan Peuch, chargé de recherche et de plaidoyer pour le droit à l’alimentation chez FIAN-Belgium, coordinateur du CRéASSA.
- Guillaume Lohest, responsable pédagogique et publications aux Équipes populaires.
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La participation aux frais est libre mais souhaitée.
Région Bruxelles-Capitale
02 227 66 80
