La question du commerce international reste l’angle mort des politiques climatiques actuelles.
Le titre est, il est vrai, quelque peu caricatural : ce dont il est question dans cette analyse, c’est du commerce international tel qu’il est organisé aujourd’hui, avec ses rapports de forces et son absence de régulation. Son développement exponentiel ces dernières décennies et la liberté totale qui est laissée à ses acteurs mettent gravement en péril les efforts fournis par ailleurs pour limiter le réchauffement climatique et la destruction de notre milieu de vie. Pourtant, la question du commerce international reste l’angle mort des politiques climatiques actuelles. Une régulation de la part du politique et une modification de nos comportements de consommation sont deux pistes à creuser pour réduire l’impact du commerce sur le vivant.
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